Quand vient le temps de la réfléxion, l'heure n'est plus au sourrir, il laisse place aux larmes qui ne s'écoulent plus mais reste dans dans le fond de mes yeux.
Les mots et les phrases des autres que j'avais laissées passer sous le vent se reforme et me ratrappe, me balisse et me ramène à ma solitude.
Seul dans ma peine je voguesur le panel de mes erreurs, là je ne suis plus que poussière de mon ombre.