Tout est sombre, je ne perçoit plus les réfraction des rayons lumineux, je ne vois que l'obscurité de mon ame. Pourtant les papillons reviennent, les fleurs envahissent, les jardins et les champs. Non mon ame ne vit plus les tourments de l'hiver, ils ont laissé place à la douceur de l'été, à son ciel bleu, et à ces nuit étoilé qui laisse nos ame s'évader. Et je ris, de voir tant de futilité, tant de naïveté, et si peux d'attention.
Ce monde est nappé de mesquinerie, et de mensonges, pourtant il n'aprtient qu'à sois même de chasser les roseaux qui viennent pervertir la douceur d'un monde qui n'est que notre. C'est ainsi que j'ai caché mon soleil, dans le creux de vos mains.