soleiletpluiedesmots

levant et le couchant sur un zeste de pensée

Samedi 26 juin 2010 à 11:13

Tout est sombre, je ne perçoit plus les réfraction des rayons lumineux, je ne vois que l'obscurité de mon ame. Pourtant les papillons reviennent, les fleurs envahissent, les jardins et les champs. Non mon ame ne vit plus les tourments de l'hiver, ils ont laissé place à la douceur de l'été, à son ciel bleu, et à ces nuit étoilé qui laisse nos ame s'évader. Et je ris, de voir tant de futilité, tant de naïveté, et si peux d'attention.
Ce monde est nappé de mesquinerie, et de mensonges, pourtant il n'aprtient qu'à sois même de chasser les roseaux qui viennent pervertir la douceur d'un monde qui n'est que notre. C'est ainsi que j'ai caché mon soleil, dans le creux de vos mains.

Mardi 6 avril 2010 à 18:39

              Quand vient le temps de la réfléxion, l'heure n'est plus au sourrir, il laisse place aux larmes qui ne s'écoulent plus mais reste dans dans le fond de mes yeux.
               Les mots et les phrases des autres que j'avais laissées passer sous le vent se reforme et me ratrappe, me balisse et me ramène à ma solitude.

              Seul dans ma peine je voguesur le panel de mes erreurs, là je ne suis plus que poussière de mon ombre.

Mardi 6 avril 2010 à 18:32

Simplement sourrir à l'absurdité,
écouté sans avoir l'air géné,
l'enfilade des mots qui s'opposent,
les arguments qui veulent taire ma prose.

Devant ma faute je te sourris,
derrière ton arrogance je plis,
avec un soupçon d'ignorance,
pour laisser croitre mon apparence

Mardi 6 avril 2010 à 18:26

Certain te regarde, mais les regards divergent,
nombreux sont ceux qui sont resté sur la berge,
le ciel n'a fait que protéger ton coeur,
mais l'orage ta séparé de ton ame soeur.

l'échange d'un regard au milieu d ela foule,
pour se perdre quand le flot s'écoule,
une foie la pluie écoulé,
le soleil vient nappé ton visage doré.

L'ombrage de la forêt a caché une fleur,
seul l'oiseau du soileil deviendra son sauveur,
pour ne laisser que le doux plaisir,
à cette fleur qui fut votre désir.

Mardi 6 avril 2010 à 18:07

Je me suis mis à douter, à regarder dérrière moi, je me suis enfouie dans mon passé. Les choses ne sont pas toujours comme on pourrai l'espérer, mais en regardant a peine, et puis la sienne, et puis les votres, j'ai sourri de ma pauvre agonie, qui n'est que grain de sel devant vos histoires. Et puis ce doux parfum, cette chaleur, cette lumière, c'est le retour du printemps. Alors c'et ences temps merveilleux que mon optimisme reviens, pour pauler les gens qui ont vraiment de l'importance à mes yeux, je ne fuirai pas, je me relèverai et je regarderai vers ce ciel bleu de ce doux printemps

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